Le Transsibérien

Pour cette 2e pièce, je me suis inspiré de l’expérience d’un de mes neveux, Yan, qui venait de réaliser un de ses rêves d’enfance : enchainer le Transsibérien, le Trans-Mongolie et le Trans-Chine. Il a aussi effectué le trajet retour, ce qui est extrêmement rare et courageux…

Trois de mes dessins ont échappé à la destruction naturelle— fig. 1 à 7. (Legs JCV). L’itinéraire est tracé, de Paris à Vladivostok. Vous pourrez observer les variations qui sont minimes, essentiellement sur les noms des villes. Moscou,Novossibirsk et Irkoutsk ont disparu, seuls leurs emplacements sont restés marqués.
J’ai représenté le train à vapeur de l’origine de la ligne, à la fin du XIXe siècle (1891-1904). Ce train traverse un paysage de taïga très monotone. Deux personnages se font face : une élégante femme russe, dont je ne retrouve pas de quel ouvrage je l’ai extraite, et un cavalier mongol muni de sa urga* (cf. liens), qui observe l’arrivée de cet intrus sur ses terres.

Les documents anciens sont extraits des sites mis en lien. Je vous propose aussi quelques « captures d’écran », pour vous donner les chiffres divers, nombre de frappes, diamètres, poids, etc. Mais aussi une annotation erronée (je vous laisse la chercher).

La troisième partie de l’article sera consacrée aux trois autres monnaies de la série, dessinées et gravées par Cécile Renault.